Site internet local d’information religieuse de Crécy-la-Chapelle, Voulangis, Villiers-sur-Morin.
Voir la bande annonce :
www.allocine.fr/film/film/fichefilm_gen_cfilm=188254.html
Ce long métrage s’adresse au grand public. Il montre que toute personne peut être amenée, à un moment dans sa vie, à se poser la question du sens de la vie, de la foi... Quoique traitant d’un sujet original et délicat, il propose une réalisation contemporaine, à la fois subtile et réaliste, souriante et personnelle.
Pour nous tous, il représente un fabuleux outil pour partager ce que nous croyons avec le plus grand nombre... Nos familles, nos amis, nos groupes de réflexions, nos mouvements associatifs,...
Alors soutenons-le ! En allant le voir dès le 9 février au cinéma, en en parlant autour de nous, en le recommandant sur Internet ou en le proposant dans le cadre de nos activités de groupe.
L’amour du Père, Antoine va le laisser entrer dans sa vie grâce à un lieu ouvert, un lieu d’écoute et de partage. Ce lieu aurait tout à fait pu être… un dîner Alpha, Thierry Bizot le dit lui-même !
Entretien avec Thierry Bizot qui a vécu cette histoire vraie et bouleversante de cet homme du showbiz qui laisse entrer Dieu dans sa vie
Cet entretien est tiré du journal gratuit L’1visible
« Jusqu’à l’âge de 44 ans, j’ai été un catholique non pratiquant. non communicant, non convaincu. », résume Thierry Bizot. Il a suffi de quelques soirées pour qu’il change de vie. Invité par un professeur de son fils à des cours de catéchèse, l’ancien directeur de musique de M6 bascule dans une foi vivante. Il raconte alors cette incroyable aventure intérieure dans Catholique anonyme, grand succès de librairie. L’adaptation au cinéma de ce best-seller vient de sortir sur les écrans. Rencontre.
De quoi parle votre film ?
Du parcours d’un avocat de 40 ans, Antoine, à qui tout réussit, mais qui va, grâce à des catéchèses où il a été invité par hasard, prendre le temps de réfléchir à sa vie. Il va peu à peu ajuster ses relations avec son père, son frère, sa femme, afin de devenir un vrai père pour son propre fils adolescent.
Qu’est-ce qui vous a amené à mettre à l’écrit, puis à l’écran, votre conversion ?
A force de raconter ma conversion, ma femme puis mon éditeur (Louis Gardel, au Seuil) m’ont invité à écrire cette histoire. Le film, c’est ma femme qui a eu envie de l’écrire et de le réaliser, en constatant que ce sujet intéressait, passionnait même les gens à qui on en parlait.
Retrouvez la totalité de cet entretien sur
www.l1visible.com
Nous vous proposons également la possibilité d’écouter l’interview de Thierry Bizot que l’équipe du site religieux de Bayard
croire.com a rencontré pour vous :
http://www.croire.com/article/index.jsp?docId=2454653&rubId=190
Lecture spirituelle : Etre témoin
Dieu lui-même pour entrer en humanité a voulu avoir besoin du "oui" de Marie, de notre "oui". Car lui non plus ne saurait forcer la porte, entrer par effraction, et il lui faut un consentement d’homme libre. "Voici que je me tiens à la porte et je frappe. Si quelqu’un m’ouvre, j’entrerai" (Ap 3,20). On peut ne pas entendre et ne pas ouvrir quand il frappe, tirer les verrous, se barder de défenses, se mettre aux abonnés absents ... Ou se disposer à accueillir le don immense et totalement gratuit par lequel l’hôte met tous ses biens, et tout ce qu’il est, à notre disposition [...]
Il est frappant de voir que la plupart des visitations de Dieu dans l’Ecriture sont aussi des " annonciations" : l’annonce, pour celui qui en est l’objet, d’une mission qui lui est confiée. Dieu vient pour cela, pour associer l’homme à ce qu’il a fait [...]
C’est qu’il ne s’agit pas de discourir sur Dieu, de parler de lui, d’écrire sur Lui, mais de pouvoir avec nos pauvres mots et toute notre faiblesse humaine, le laisser dire et faire ne nous ce qu’il veut. Il faut pour cela l’avoir entendu nous le dire.
Sera témoin celui qui sait que Dieu écrit droit avec nos lignes courbes mais qui ne peut renier pourtant que Dieu l’ait visité.
M.T ABGRALL, communauté Saint François-Xavier
"Vers la source de vie"
(Edition Bayard/Christus,2007, p.158-162)