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La messe de la jeunesse

En ce 2ème dimanche de l’Avent, différentes équipes de jeunes et d’enfants se sont retrouvées en l’église de Crécy-la-Chapelle. La messe était animée par les jeunes du M.E.J (Mouvement Eucharistique des Jeunes), la crèche du jour était apportée en offrande par l’équipe de 1ère année de caté, des louvettes de Lagny et Meaux étaient de passage à  Crécy et représentaient donc le mouvement scoutisme. Un bien beau mélange de mouvements de jeunes sur le même chemin de foi en Jésus
Le MEJ accompagne les jeunes de 7 à 21 ans pour les aider à grandir dans leur humanité et leur foi. C’est un mouvement éducatif catholique et les jeunes sont accueillis au sein d’une équipe d’une même tranche d’âge. Sur le secteur de Crécy, existe une équipe de JT (Jeunes Témoins de 10 à 13 ans, une équipe de TA (Témoins d’Aujourd’hui de 12 à 15 ans) et une équipe d’ ES (Equipes d’Espérance de 15 à 18 ans).

C’est l’ensemble de ces équipes qui a animé la messe du jour, par la lecture de la Parole, par l’animation musicale, par la prière.

De plus petits enfants étaient aussi présents dans l’assemblée, des enfants du caté du secteur et des jeunes louvettes de Lagny-sur-Marne et de Meaux qui passaient leur journée de rassemblement d’équipe à Crécy, profitant de la salle paroissiale et des jardins du presbytère.

Comme tous les dimanches de l’Avent cette année, une équipe caté a apporté la crèche qu’elle a constituée en séance de caté pour l’offrir en offrande à l’autel. En ce 2ème de l’Avent, c’est l’équipe de 1ère année, accompagnée par Nicole, qui étaient les « bâtisseurs » de la crèche du jour, représentant le continent africain. Le père Aimé retrouvait ainsi en ce matin des senteurs de son continent natal ….Le prochain numéro du journal paroissial, l’Echo de la Vallée, parlera d’ailleurs de cette belle initiative des catéchistes à produire pour chaque dimanche de l’Avent une crèche d’un continent du monde.

Les enfants étaient accompagnés au moment de l’offrande par leurs ainés méjistes, symbolisant ainsi le même chemin de foi suivi par les différents mouvements d’Eglise.

L’Eucharistie suivit l’offrande, moment privilégiée pour déposer tous nos fardeaux, comme ces sacs à dos des louvettes déposés au fond de l’église …

Merci aux animatrices, aux jeunes musiciennes, à tous les jeunes, petits et grands qui ont lu la Parole et la Prière Universelle, qui ont apporté leur offrande à l’autel, qui ont fabriqué de leurs mains la crèche du jour.
Même l’envoi fut l’occasion d’une danse improvisée, au moment du refrain, très approprié en ce temps d’Avent, pour se préparer à accueillir la naissance de Jésus :

Préparez le chemin du Seigneur
Préparez vos coeurs,
Préparez les chemins du Seigneur
Changez de vie !

Les paroissiens pouvaient aussi contenter leur appétit à venir pour le repas dominical en soutenant les jeunes du MEJ, qui proposaient des gâteaux à la fin de la messe, pour subvenir aux frais des différents rassemblements d’une journée ou d’un week-end, qui leur sont proposés tout le long de l’année, avec des déplacements en Ile de France … et même à Quimper pendant les vacances de fin d’année, pour le rassemblement national du mouvement MEJ. Merci à vous de soutenir nos jeunes !

Aujourd’hui, 6 décembre, n’oubliez pas de fêter Saint Nicolas !


Saint-Nicolas ou Nicolas de Myre est né entre 250 et 270 après J-C à Patara en Lycie (Turquie actuelle) et il est mort le 6 décembre, entre 345 et 352.

Il fut évêque de Myre.

Durant sa vie, il accomplit de nombreux miracles :

Apprenant qu’un père n’a pas de quoi fournir une dot de mariage à ses trois jeunes filles, Nicolas jette de l’argent dans leurs bas qu’elles avaient mis à sècher sur la cheminée. Grâce à lui, le père peut assurer le mariage de ses trois jeunes filles.

Il ressuscite aussi trois enfants qui, étant allés glaner aux champs, avaient été tués et découpés par un boucher.

C’est la légende la plus connue des petits enfants lorrains ! Saint Nicolas est fêté principalement dans l’est de la France (Lorraine et Alsace), le nord, la Belgique, le Luxembourg, l’Allemagne, la Hollande, l’Autriche et les Pays Bas.

A la Saint Nicolas, la tradition veut que les enfants qui furent sages durant toute l’année reçoivent du pain d’épice. Et que ceux qui n’auront pas fait figure d’enfants sages reçoivent des coups de martinet par le père fouettard.

Le Père Fouettard, qui accompagne Saint Nicolas, serait en fait le boucher de l’histoire. Pour lui faire regretter son méfait, ce dernier l’aurait condamné à l’accompagner lors de sa distribution de récompenses, en lui assignant la tâche de punir les enfants désobéissants.

La ville de Saint-Nicolas de Port en Lorraine abrite une relique du Saint depuis 1090 : sa phalange « dextre bénissante ».

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